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Engraisser des taurillons en 2007-2008 Avec quelle alimentation ? Quel intérêt économique ?

« Avec la flambée des prix des matières premières et les restrictions des mouvements des animaux liées à la crise sanitaire de la Fièvre catarrhale ovine (Fco), les éleveurs s’interrogent sur l’intérêt de l’engraissement de taurillons », rapporte Denis Reynaud de l’institut de l’élevage. Pour apporter des éléments de réponse les ingénieurs des réseaux d’2levage de Haute Normandie Picardie et Nord Pas de Calais ont réalisé un document d’aide à la décision.

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Ce document de huit pages est destiné aux éleveurs et aux conseillers en élevage.
Ce document se présente en 3 grandes parties:
- La première partie du document  est consacrée à la production de jeunes bovins à partir de broutards de race à viande. Trois rations d’engraissement très présentes dans les pratiques des éleveurs du Nord Ouest sont comparées, une à base d’ensilage de maïs, une seconde à base de pulpe surpressée et la troisième à base de pulpe déshydratée
  - La seconde partie est dédiée à la production de jeunes bovins à partir de veaux laitiers. Deux rations sont comparées, une à base d’ensilage de maïs et la seconde à base de pulpe surpressée.

Dans ces deux parties, un coût alimentaire pour chaque type de ration est calculé à partir des quantités consommées par l’animal pour atteindre des objectifs de croissance en phase d’engraissement de 1400 g. par jour pour un jeune bovin de race à viande et de 1225 g. par jour pour un jeune bovin laitier. A partir de ces données de coût alimentaire, deux tableaux présentent, pour une ration donnée, la marge brute (après frais financiers) calculée en fonction du prix d’achat de l’animal et du prix de vente de la viande. Dans ce document, l’éleveur et/ou le technicien peut aussi calculer le coût alimentaire de sa ration à partir des hypothèses de prix fixées et en déduire sa propre marge brute (après frais financier) en fonction du prix d’achat de l’animal et du prix de vente de la viande.
 

La troisième partie du document présente les prix d’intérêts des différentes sources énergétiques et azotées disponibles dans les régions Haute Normandie, Picardie et Nord Pas de Calais.


Document à télécharger au format pdf sur le site de l'Institut de l'élevage, en cliquant ICI

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